Ses caractéristiques

Ailleurs vous trouverez des lions ou des tigres, à Madagascar se trouve le « fosa ». Il fait partie de la famille des eupleridés, la famille qui regroupe les carnivores endémiques de Madagascar. Un fosa adulte mesure entre 70 à 90 cm environ, pèse entre 6 à 9 kg et n’est pas plus haut que 35 cm. De couleur brun-roux avec le ventre plus clair, il possède une trentaine de dents. Il a les membres courts et trapus. Chaque patte se termine par cinq doigts à griffes semi-rétractiles. Sa nourriture se compose surtout de tenrecs, s’il habite une région montagneuse, ou de lémuriens, s’il habite une région forestière. Cependant, il se nourrit également de petits mammifères, oiseaux et reptiles, régulant ainsi l’écosystème en évitant l’invasion de certaines espèces.

Où les trouver ? Et côté reproduction ?

Les fosa étaient autrefois nombreux à Madagascar, mais à présent ils sont classés « vulnérables » par l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature). Ils habitent dans tout type de forêt (sèche, humide ou épineuse). Actuellement, il ne reste que 2500 individus approximativement dus à la déforestation. Cette destruction massive de leur habitat naturel rend leur nourriture rare et ils deviennent voleurs de volailles près des villages. Devenus nuisibles, les hommes les chassent même si traditionnellement, c’est tabou de les tuer ou les manger. Quelques fosa ont été déplacés aux zoos de Denver, de San Antonio ou au zoo de Paris, mais vous pouvez aussi tenter de les observer près de la forêt de Kirindy, à Madagascar. Une fois par an, entre septembre et décembre, la femelle s’affronte sur un arbre avec plusieurs mâles pour trouver l’heureux élu. Celui-ci doit être le plus fort et la dominer. Chaque année, la femelle choisit le même arbre pour s’accoupler à l’extrémité d’une branche. Trois mois plus tard naissent un à six petits qui seront indépendants à un an et sexuellement mâtures à 2 ans.

Appétence pour la viande cuite

Les chiens sont des carnivores. Autrement dit, la viande est un élément essentiel de leur alimentation. Indépendamment de cette nécessité diététique, les chiens apprécient tout bonnement la viande, surtout le poulet, la dinde et le bœuf. On peut même dire que c’est leur nourriture préférée. Toutefois, donnez-leur de la viande cuite sans os et sans assaisonnement. La cuisson de la viande tue les bactéries potentiellement dangereuses, ce qui la rend plus sûre pour la consommation canine. Parmi ces bactéries, il y a la Salmonelle ou l’E. coli.

Le poulet et la dinde sont une bonne source de protéines maigre. Ces deux viandes sont souvent bien tolérées par les chiens. Elles doivent être cuites sans peau et sans os. Le bœuf apporte aux chiens des protéines d’excellente qualité. Choisissez des coupes maigres et optez pour une cuisson sans ajout de matières grasses.

L’agneau et le sanglier conviennent aux chiens qui ne supportent pas les viandes précédentes. Si votre chien n’a jamais mangé de viande d’agneau ni de viande de sanglier auparavant, donnez-en en quantité modérée et surveillez sa digestion. L’introduction progressive de ces viandes peu courantes dans son alimentation vous permet de vous assurer qu’il les tolère bien.

Les os, en particulier cuits, risquent de se fragmenter et de provoquer des blessures internes. En conséquence, retirez tous les os avant de donner de la viande à votre chien. Enlevez également le plus possible de graisse, car s’il en ingurgite une trop grande quantité, il risque de se retrouver avec des troubles digestifs. En outre, les assaisonnements, y compris les condiments classiques (le sel, les épices, l’ai, et l’oignon), sont susceptibles d’être nocifs pour les chiens. De ce fait, préférez cuire la viande sans aucun ajout d’assaisonnement ou de sauces. Donnez cette viande cuite à votre chien en complément de son alimentation habituelle et non comme aliment principal. Ajustez les quantités en fonction de ses besoins nutritionnels, lesquels dépendent de sa taille, de son âge et de son niveau d’activité.

Les croquettes à base de viande

Les croquettes sont un aliment sec. Les fabricants les conçoivent pour qu’ils répondent aux besoins nutritionnels des chiens tout en leur offrant un goût qu’ils apprécient généralement. Or, les chiens ont généralement une préférence naturelle pour les aliments riches en protéines, et la viande en est une excellente source. C’est pourquoi beaucoup de chiens sont friands des croquettes à base de viande. On ne s’étonne donc pas que beaucoup de maîtres nourrissent leurs compagnons à quatre pattes avec des croquettes qu’ils peuvent acheter sur https://www.terranimo.fr/chien/alimentation/croquettes.html. Ces aliments sont formulés pour fournir aux chiens des protéines, des glucides, des lipides, des vitamines et des minéraux. Tous ces éléments sont associés de manière à ce que les portions d’une journée satisfassent les apports nutritionnels recommandés journaliers. Par-dessus tout, les croquettes à base de viande sont riches en protéines, un nutriment essentiel pour le développement et le maintien de la masse musculaire des chiens. Le pourcentage de protéines présent dans les croquettes varie selon les marques et les formulations. Une teneur en protéines de 18 % à 25 % sur une base sèche est souvent recommandée aux chiens adultes en bonne santé. Cela convient aux chiens ayant un niveau d’activité normal. Une teneur en protéines de 22 % à 32 % est appropriée aux chiots et aux jeunes chiens en croissance.

Il existe de nombreuses marques et compositions de croquettes. Certaines sont même créées exclusivement pour les chiens qui ont des besoins diététiques particuliers. La viande dans les croquettes provient soit d’une source unique soit de différentes sources : poulet, bœuf, agneau, poisson. Certains fabricants ont même recours à des viandes moins courantes comme le canard ou le sanglier. Ils peuvent utiliser de la viande entière, des sous-produits de viande, etc. La qualité de la viande et la manière dont elle est traitée avant d’entrer dans la composition des croquettes varient d’une marque à l’autre. Outre la viande, ces croquettes contiennent généralement des céréales (maïs, riz, blé, etc.) ou des légumineuses (pois, lentilles, etc.) comme sources de glucides. Elles peuvent aussi inclure des légumes, des fruits, des vitamines, des minéraux, et parfois des acides gras essentiels comme les oméga-3.

Les éléments clés pour contrôler le poids des chiens stérilisés

Pour garantir une gestion efficace du poids de votre chien après sa stérilisation, choisissez une approche alimentaire adaptée à ses besoins spécifiques et suivez ces conseils clé.

• Croquette chien stérilisé: pour gérer convenablement le poids de votre chien après cette opération, il est recommandé de choisir une nourriture spécialement conçue pour les chiens stérilisés. Ces croquettes sont généralement composées de moins de matières grasses et d’une quantité réduite de calories pour prévenir la prise de poids. Il est conseillé de vérifier les recommandations du fabricant concernant la ration quotidienne, en fonction du poids et de l’activité physique de votre chien.
• Croquettes light : si votre chien a déjà des problèmes de surpoids après sa stérilisation, il peut être utile d’envisager une alimentation à faible densité calorique. Les croquettes light sont enrichies en fibres et ont un pourcentage plus faible de lipides – cela permet à votre animal de se sentir rassasié tout en consommant moins de calories. Bien sûr, discutez toujours avec votre vétérinaire avant de modifier le régime alimentaire de votre chien, surtout s’il souffre de problèmes de santé.
• Mesurer les portions : mesurer précisément la quantité de croquettes que vous donnez à votre chien chaque jour est crucial pour éviter l‘obésité. Vous pouvez utiliser une tasse à mesurer ou une balance pour vous assurer que vous servez la bonne portion. N’oubliez pas de tenir compte des friandises et autres aliments supplémentaires lorsque vous calculez la quantité totale de nourriture que reçoit votre chien chaque jour.
• Ne pas céder aux regards implorants : votre chien peut adopter un comportement mendiant après la stérilisation en raison de sa faim accrue. Toutefois, vous devez vous montrer ferme et ne pas céder à ses regards implorants pour éviter de le suralimenter. Vous pouvez aider votre chien à se sentir rassasié en répartissant sa ration quotidienne sur plusieurs petits repas tout au long de la journée.

La gestion des activités physiques

En plus d’ajuster l’alimentation de votre chien stérilisé, il est également impératif de maintenir une routine d’exercices réguliers. Cela permet non seulement de brûler les calories excédentaires, mais aussi de renforcer les liens entre vous et votre compagnon à quatre pattes. Voici quelques idées d’activités qui peuvent aider votre chien à rester en forme :

L’obésité chez le chien stérilisé

Il est essentiel de prêter une attention particulière à la prise de poids de votre chien après la stérilisation, car il peut devenir sujet à l’obésité en raison de ses changements hormonaux et physiologiques. Une mauvaise gestion du poids entraîne un risque accru de maladies chroniques telles que le diabète, les maladies cardiovasculaires, l’arthrite et d’autres complications.

En conclusion, la gestion éclairée du poids chez les chiens stérilisés nécessite une approche nutritionnelle avisée. En suivant attentivement ces conseils, vous favorisez non seulement la santé physique de votre compagnon, mais également son bien-être général. L’équilibre alimentaire adapté à sa condition stérilisée assure une vie saine et active, tout en prévenant les risques liés à un poids excessif.

Avec une alimentation appropriée, régulière et variée, vous contribuez à offrir à votre chien stérilisé une vie pleine de vitalité et de bonheur. N’oubliez pas de consulter régulièrement votre vétérinaire pour ajuster au mieux son régime en fonction de ses besoins spécifiques.

]]> https://www.catnisweb.fr/conseils-nutritionnels-pour-les-chiens-sterilises/feed/ 0 https://www.catnisweb.fr/comment-traiter-les-puces-sur-un-animal-de-compagnie/ https://www.catnisweb.fr/comment-traiter-les-puces-sur-un-animal-de-compagnie/#respond Mon, 15 Jan 2024 09:56:02 +0000 http://www.catnisweb.fr/?p=322 Quel que soit l’espèce de votre animal de compagnie, s’il habite à la maison et qu’il a des pelages, il peut emmener des puces dans votre domicile et en être infester. Ces dernières sont des parasites qui se faufilent entre la pilosité de votre animal, qui le pique pour en sucer le sang et qui se reproduisent très rapidement pour contaminer d’autres animaux ou se poser dans vos linges. Il est donc, possible que les puces de vos animaux de compagnie soient aussi des éléments gênants pour vous. À cet effet, il est essentiel de s’en débarrasser, mais comment s’y prendre ?

Commencez par traiter en même temps l’animal et votre foyer

Si votre animal domestique a l’habitude de sortir de la maison et d’être en contact avec d’autres animaux, il y a de forte chance qu’il attrape des puces. Cependant, vous devez aussi savoir que ces dernières ne se transmettent que s’il y a contact. Il y a aussi le fait que l’autre animal qu’il côtoie peut se gratter et lasser tomber des puces sur le sol. Ces dernières vont alors s’agripper sur les poils des animaux de passage et finir par l’infester. Autrement dit, il sera nécessaire de nettoyer l’environnement de vie de l’animal en même temps que ses poils pour pouvoir se débarrasser définitivement des puces. Pour ce faire, du côté de votre animal, il existe des shampoings antipuces sur le marché avec lesquels vous pouvez les laver. On peut aussi lui mettre un collier antipuce ou utiliser des comprimés à cet effet. Le type et la méthode de décontamination dépendront du comportement et de la tolérance de votre animal dans ce cas. Il sera toujours préférable de passer par la case vétérinaire avant d’en faire le choix, toutefois, pour voir si l’animal n’aurait pas des allergies sur certains composants des produits antipuces. Par ailleurs, on doit aussi prendre en compte la qualité de ces derniers et de leurs efficacités. Si vous avez un animal qui sort de la maison fréquemment par exemple, il est possible qu’il perdre son collier. Il faut aussi faire attention aux pipettes qui peuvent être composés de principes actifs dangereux pour certains types d’animal. Concernant l’environnement de vie, les foggers sont parfaits. Il suffit d’en diffuser dans le lit et les endroits de passage de l’animal. Cependant, comme ce sont des pesticides, il est préférable d’en asperger quand les résidents sont absents. Outre ces points, parmi les possibles environnements de vie de votre animal, il y a aussi la voiture. S’il voyage avec vous dans une voiture, il faut aussi penser à traiter cette dernière avec des foggers ou du spray.

Que faire si les puces réapparaissent après le traitement ?

Il est possible qu’après traitement des puces de l’animal, ce dernier est encore infecté. Si tel est le cas, il faut comprendre que son environnement n’a pas très bien été traité. Selon les vétérinaires, 95% puces habitent et engagent l’environnement de vie de l’animal et seulement 5 % se trouvent entre les poils de ce dernier. Il est également possible que vous laissiez d’autres animaux infectés, entrer dans la maison. Ces derniers vont faire développer les puces dans l’environnement de votre boule de poile. Il serait nécessaire dans ce cas, d’éviter que d’autres animaux infectés y entrent et de traiter en même temps tous les animaux à poile que vous avez à la maison. Faites également attention à la fréquence du traitement. Vous devez respecter un programme précis et une fréquence régulière. En effet, dans de nombreux cas, un retard de traitement peut causer une ré-infestation de puces chez l’animal. Et enfin, n’abusez pas des traitements. Que ce soit pour le shampoing ou la pipette et même les sprays et autres, le dosage prescrit doit toujours être respecté.

Ce que dit la loi sur l’obligation d’assurance pour un animal de compagnie

Vous n’êtes pas obligé de souscrire une assurance santé pour votre chat/chien ou autre animal de compagnie. Cela dit, selon un article du code rural, vous êtes obligé de prendre soin de lui lorsqu’il est malade ou quand il a eu des blessures ou un accident. Au regard de la loi, vous êtes donc responsable de la santé de votre animal de compagnie (sauvage apprivoisé ou en captivité ou domestique). Vous ne devez pas le laisser sans soin.

Quelles sont aussi vos responsabilités vis-à-vis de votre petit compagnon ? Eh bien, vous êtes légalement responsable des dommages, matériels ou corporels, qu’il peut causer à une tierce personne et ce, même lorsqu’il échappe à votre surveillance. Supposons que votre chiot s’est égaré et qu’il a abimé le portail de votre voisin en le mordant. Vous devez alors réparer les dégâts qu’il a engendrés. Vous pouvez souscrire une assurance responsabilité animale civile dans ce cas. Si vous avez un chien de race dans la catégorie 2 ou 1 (chien d’attaque ou chien de défense), vous pouvez choisir un contrat de Responsabilité Civile spécifique.

L’utilité d’une assurance santé pour animal de compagnie

Maintenant, voyons de plus près pourquoi une assurance santé pour animal de compagnie vous est vraiment utile. Un tel dispositif vous permet d’être à l’abri des dépenses onéreuses. Les situations délicates qui peuvent affecter votre compagnon sont en effet nombreuses et la prise en charge de chacune d’elles a son prix. Si votre chien a par exemple eu un accident qui a endommagé ses os, il est nécessaire de l’opérer afin qu’il puisse bien se rétablir. Une hospitalisation s’avère aussi utile pour surveiller son état. Et puisque les vétérinaires sont libres d’appliquer les tarifs de leur choix, les frais liés aux soins de votre ami peuvent être très élevés. Ainsi, avoir une assurance santé animale vous permet d’être remboursé d’une partie ou de la totalité de ces frais.

Parmi les autres garanties prises en charge par les assurances santé pour animal, il y a également les consultations, les vaccinations, les stérilisations, les médicaments, les analyses, les radios et les anesthésies.

Les avantages d’une assurance santé pour animal

Puisque vous voulez avoir auprès de vous le plus longtemps possible votre petit compagnon, vous devez veiller à sa santé. Grâce à une assurance santé pour animal, vous pouvez financer les frais vétérinaires de votre chat/chien ou autre animal pour qu’il ait accès à divers soins lui permettant d’être au top de sa forme chaque jour.

Mais comment trouver une agence qui vous propose un contrat qui vous convient ? N’hésitez pas à comparer les tarifs des diverses assurances santé pour animal en ligne ! Il y a aussi des conseils que vous pouvez suivre pour vous aider dans votre choix. Vous souscrirez ainsi le meilleur contrat permettant à votre animal de compagnie de vivre mieux à vos côtés.

Les gamelles de nourriture et d’eau

Votre chat doit avoir ses propres gamelles pour qu’il puisse manger et boire convenablement. Vous devez acheter deux récipients différents et séparés, car les modèles joints ont tendance à souiller rapidement. Vous pouvez choisir des petits bols ou des petites assiettes, l’essentiel est qu’ils soient assez grands pour que votre chat soit à l’aise en mangeant.

Il est conseillé de favoriser des gamelles en inox, en porcelaine ou en verre qui ne prennent pas facilement l’odeur comme la matière en plastique. Pour l’eau, il est préférable d’opter pour un bol en verre ou en céramique. N’oubliez pas de laver les gamelles chaque jour et de renouveler l’eau.

Vous pouvez aussi choisir une fontaine à eau pour faire plus plaisir à votre chat.

Une caisse de transport et un couchage confortable

Pour pouvoir transporter facilement votre chat ou lors des voyages, vous devez aussi disposer d’une caisse de transport adaptée. La caisse assurera la sécurité de votre félin durant vos déplacements et elle empêchera qu’il vous échappe. De préférence, favorisez une caisse solide et rigide qui permet de protéger contre les chocs. Pour la matière, mieux vaut choisir la plastique afin de garantir le confort de votre animal durant le transport et pour faciliter l’entretien de la caisse.

Puis, vous devez également penser à acheter un couchage confortable pour votre chat. Vous pouvez choisir un couffin, un panier, un coussin ou un carton, mais il est essentiel qu’il y ait assez d’espace. Vous devez installer ce couchage dans un lieu calme propice au repos, à l’abri de l’air et un peu éclairé.

Le bac à litière et un arbre à chat

Pour que votre chat ne fasse pas ses besoins n’importe où, vous devez aussi prévoir un bac à litière. Ce dernier doit être tout le temps propre, car sinon, votre chat ne fera pas ses besoins dedans. S

i vous avez un chaton, optez pour un modèle plus bas et ouvert pour qu’il puisse facilement y accéder. Au fur et à mesure que votre chaton grandit, vous pouvez adopter un bac à litière plus grand et fermé. Cela permettra de limiter la propagation des odeurs et de respecter l’intimité de votre animal.

Pour que le bac à litière soit facile à entretenir, favorisez une matière en plastique.

Enfin, n’oubliez pas d’acheter un arbre à chat ou un griffoir pour que votre animal puisse y affûter ses griffes.

Tenez compte de quelques points concernant votre animal de compagnie

Maintenant que votre petit compagnon fait partie de votre famille, vous tenez à lui et vous voulez prendre soin de lui en cas de maladie ou d’accident. Puisque les tarifs des soins vétérinaires ont évolué depuis déjà quelques années, il n’est pas toujours évident de régler les factures santé de votre animal de compagnie. L’assurance est ici d’une grande aide. Vous devez assurer votre animal de compagnie dès son jeune âge ou dès son arrivée chez vous. Mais vous vous demandez sûrement quelle formule vous devez sélectionner.

Eh bien, vous devez d’abord considérer les risques auxquels votre ami est exposé. Il y a les pathologies. Votre chat ou votre chien peut être sujet à des maladies ponctuelles, telles qu’une otite, une gastro-entérite. Il peut aussi avoir des infections chroniques, comme le diabète, l’insuffisance rénale ou la cystite.

Puis, il y a les accidents et les imprévus. Votre compagnon peut se casser une patte, subir une intoxication alimentaire (en consommant des plantes, des champignons ou autre aliment qu’il ne tolère pas), avoir une réaction allergique suite à une piqûre d’insectes, avoir une blessure à l’œil, etc.

Toutes ces situations peuvent vous pousser à emmener fréquemment votre animal de compagnie chez le vétérinaire. Il est possible qu’il ait à suivre de longs traitements médicamenteux ou une rééducation physique. Voilà pourquoi vous devez privilégier les contrats de type  » tous risques « . Vous pouvez également souscrire pour votre compagnon à une couverture en cas de maladie. Quoi que vous fassiez, n’oubliez surtout pas d’avoir recours à un site de comparaison d’assurances pour animaux. Vous découvrirez ainsi les types de frais couverts par chaque assurance et le montant à préparer.

Prenez en compte les paramètres proposés par les assurances pour animal de compagnie

Pour mieux comparer les assurances, tenez compte de quelques paramètres. En premier lieu, vérifiez les frais couverts par l’établissement, comme la consultation et la visite chez le vétérinaire, les médicaments, la médecine douce, les analyses, l’hospitalisation, les imageries médicales, etc.

En second lieu, considérez le délai de carence de l’assurance santé animale. Jetez un œil sur le taux de remboursement, le type de plafond de remboursement proposé et le montant de l’assurance. N’oubliez pas le type de franchise du contrat.

En fonction de ces points, optez pour l’assurance qui assure à vie votre animal de compagnie dès le début du contrat et qui prend bien en charge les maladies courantes.

Certaines assurances pour animal de compagnie sont intéressantes, car elles proposent des tarifs en fonction de l’âge et de la race de l’animal. Ainsi, les garanties couvrent au mieux les besoins de votre petit compagnon.

Les différents types de visite vétérinaire

La visite vétérinaire régulière est importante, pour garantir la bonne santé de votre animal et la prise en charge la plus précoce possible de tout problème. Voici également les différents types de visite que vous pouvez effectuer.
Il y a d’abord la visite pédiatrique, qui doit se faire juste après l’arrivée de votre nouveau compagnon. C’est d’ailleurs l’occasion pour le vétérinaire d’avoir un premier contact avec lui, et de vérifier son état de santé. Le professionnel fait alors un suivi de ses vaccinations et les complète par les injections nécessaires. Il vous donne aussi des conseils en fonction de sa race et de son comportement.
Ensuite, il y a la visite pubertaire, pour les chiots et chatons au début de leur puberté, c’est-à-dire entre six et dix mois pour les grandes races. Elle vise à s’assurer que l’animal est en bonne santé et présente un bon développement comportemental. Durant cette visite, vous pouvez, par exemple, programmer une stérilisation si vous n’envisagez pas de portée.
D’autre part, la visite gériatrique est conseillée, une ou deux fois par an, pour un animal mature (Six ans pour les races géantes comme un saint-bernard ou un labrador, dix ans pour les chiens de petits formats et autour de huit ans pour les chats). Elle permet justement au vétérinaire de vérifier l’absence d’affections chroniques liées à l’âge, et de mettre en place un traitement adapté.
La visite vaccinale, quant à elle, a lieu à l’occasion des rappels. Outre l’aspect sanitaire de cette consultation, elle est en plus l’occasion de faire le point avec votre vétérinaire sur des problèmes ou des questions ponctuelles.
Enfin, il y a la visite d’urgence. Forcément imprévue, elle est déterminée par des symptômes inhabituels ou un accident.

Des cliniques ouvertes en permanence

Tel qu’il est stipulé au code de déontologie des vétérinaires, le soin des animaux doit être assuré en permanence. Si la clinique où vous avez vos habitudes ne dispose pas d’un service de garde, votre vétérinaire a l’obligation de déléguer ses services à une autre structure vétérinaire.
Il doit ainsi indiquer les coordonnées à ses clients, notamment, sur son répondeur téléphonique. Il existe également des services de consultations vétérinaires à domicile. Cependant, ces derniers sont en général cantonnés dans les grandes villes.

Quels sont les critères qui déterminent le prix d’un chiot ?

Le chiot fait partie des animaux domestiques les plus appréciés, même si son prix est parfois loin d’être donné. Sachant que certaines races sont vendues à des milliers d’euros, il est avant tout nécessaire d’en comprendre la raison pour éviter les arnaques. Les principaux critères de prix d’un chiot sont nombreux. Parmi ces critères, il est possible de citer :

. La race, car la prolificité varie d’une espèce à une autre. En effet, certains chiens peuvent mettre bas cinq à huit chiots par an, tandis que d’autres se limitent à un. Par ailleurs, quelques races de chiens ont la cote auprès des familles, ce qui a tendance à augmenter leur prix. C’est notamment le cas des chiots berger australien, du golden retriever ou encore du Staffordshire Bull Terrier (chiot Staffie).

. Le pedigree du chiot. Comme vous devez le savoir, un chiot de bonne famille sera toujours proposé plus cher qu’un autre avec une lignée indéterminée. Sachez également que certains chiots ont une destination spécifique. Ainsi, les animaux à vocation de participer aux concours canins ont un prix d’achat plus élevé que ceux destinés à être des animaux de compagnie.

. Les frais de soin et d’entretien. Ceux-ci dépendent généralement de la taille de l’animal et de sa race. À titre d’exemple, un bouledogue anglais aura besoin d’assistance au moment de la mise bas, ce qui engendre un coût supplémentaire pour ses chiots. De leur côté, les espèces de grande taille comme le chiot berger malinois sont plus chers à entretenir. Cela est dû au nombre de vaccins à prévoir, de la quantité d’aliments dont il a besoin, etc.

Quel est le prix moyen d’un chiot ?

Les races de chiots les plus populaires sont vendues à des prix plus ou moins identiques. Il est ainsi possible de vous offrir un chiot berger australien, un chiot malinois ou encore un chiot cocker anglais autour de 1 000 €, sans dépasser les 1 500 €. Quoi qu’il en soit, vous pouvez vous offrir un berger malinois dans les 600 €.

Il faut cependant savoir qu’un prix largement inférieur à la moyenne n’est pas toujours une bonne affaire. En effet, il est courant que les chiots vendus à petit prix proviennent d’importation illégale d’élevage des pays de l’Est, où les conditions d’élevage peuvent entraîner des problèmes comportementaux, voire des problèmes de santé graves.

Où acheter un chiot pas cher ?

Effectuer plusieurs comparaisons est le meilleur moyen de trouver un chiot pas cher. Pour acquérir un nouveau compagnon, vous avez le choix entre l’achat auprès d’une animalerie, d’un refuge, d’un élevage et directement auprès d’un particulier. Les animaleries et les refuges proposent des prestations quasi identiques, dans le sens où les chiots sont apparentés. Leur race est donc bien définie.

En revanche, certains éleveurs et particuliers peuvent vous proposer un chiot LOF, moyennant un prix plus élevé. Dans ce cas, les chiots sont généralement issus d’une réelle volonté de sélection et d’une passion pour les races élevées.

La différence aux niveaux des crocs

Ces reptiles sont facilement distincts au niveau des crocs. Les Crocodylidae (crocodiles) ont deux dents qui dépassent de leur museau. Ces derniers se situent d’ailleurs sur leur mâchoire inférieure, et même s’ils ont les museaux fermés, on voit toujours ces deux dents qui dépassent. Quant aux Alligatoridés (alligator et caïman), il n’y a aucune dent qui ressort lors de la fermeture de sa gueule. Ils ont en fait un trou spécial sur la mâchoire inférieure, qui est fait pour cacher les dents du bas. Donc si vous croisiez un reptile avec deux dents de la mâchoire inférieure qui ressort, il est fort possible que ce soit un crocodile. Grâce à la glande de filtration d’eau qui se trouve dans la mâchoire des Crocodylidae, ils peuvent vivre dans les eaux salées (la mer et les océans) sans difficulté.

La différence sur leur vie aquatique

Tout le monde sait que les crocodiles, les caïmans et les alligators sont tous des animaux qui peuvent vivre dans l’eau. Ces trois bêtes passent en effet la moitié de la journée dans les eaux, et le reste sur la terre. Les Crocodylidae ne sont pas très agiles sur la terre, mais sont meilleurs dans les eaux. Ils préfèrent de ce fait rester dans les eaux, pour observer en cachette et surprendre leur proie afin de les emmener dans l’eau. Pour les alligators, ils restent sur terre pour observer leurs proies. Sachez que les alligators américains sont tout de même de très bons nageurs. On peut alors les retrouver dans les lacs, les eaux douces ou même les rivières, et quelquefois dans les eaux saumâtres. Les caïmans quant à eux se reposent nonchalamment et béatement dans les eaux marécageuses, les rivières et les ruisseaux.